Un guide pour reconnaître les abeilles, les guêpes, les bourdons et les frelons
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Insectes utiles et nuisibles, inoffensifs et dangereux, mimiques. Comment et pourquoi les insectes piquent-ils ? Précautions et remèdes contre les piqûres Par Giovanni Bosca Montaonda Editions
Ce guide s'adresse aux amoureux de la faune qui souhaitent en savoir plus sur le monde des hyménoptères, c'est-à-dire les insectes "qui piquent". Les abeilles viennent naturellement en premier, dont une grande partie est consacrée à leur physiologie complexe et fascinante, suivies de leurs nombreuses autres "cousines", c'est-à-dire les abeilles non mellifères, puis de parents encore plus éloignés, comme les bourdons, les guêpes et les frelons, et enfin de ces insectes qui font tout pour leur ressembler, et de ceux qui, parmi les hexapodes, sont souvent considérés à tort comme dotés d'un dard, et donc comme dangereux. Extrêmement riche en informations entomologiques, historiques et éthologiques, avec des photographies et des dessins clairs, ce guide peut être lu confortablement dans votre fauteuil, mais il peut aussi être un outil utile pour ceux qui veulent ou doivent apprendre à distinguer les différents insectes sur le terrain, en leur apprenant à éviter les piqûres et, le cas échéant, à les empêcher de produire les effets les plus dangereux ou indésirables.
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Le miel de Manuka UMF® de Nouvelle-Zélande est devenu l'un des miels floraux les plus recherchés, reconnu internationalement pour ses propriétés antimicrobiennes uniques. Le miel de Manuka est en effet unique en ce sens qu'il contient des composés antimicrobiens qui ne sont présents dans aucun autre miel floral. Cette particularité a conduit à la mise au point d'un système de test permettant de certifier la concentration de ces composés, connu sous le nom de "facteur unique de manuka" ou UMF®. BeeNZ LTD produit du miel de manuka néo-zélandais certifié UMF, qui garantit les trois éléments clés de l'action antibactérienne du miel de manuka. Ces éléments sont : le DHA (didroxyacétone) qui est une substance présente dans la fleur de manuka ; l'abeille qui se rend à cette fleur transfère ce composé dans le miel qui, grâce aux enzymes produites par l'abeille, sera naturellement transformé en MGO (méthylglyoxal). la teneur en MGO exprimée en myriagrammes par kg (mg/kg) de méthylglyoxal, avec un minimum de 83 mg/kg jusqu'à un maximum de 829 mg/kg. la teneur minimale en LEPTOSINE, c'est-à-dire le pollen exclusif de la fleur de MANUKA, qui doit être au minimum de 70 % du total du pot. Cette démarche a débuté à la fin des années 80, lorsqu'une série de miels floraux a commencé à être testée dans les laboratoires de l'université de Waikato, en Nouvelle-Zélande, et que l'on a découvert que le miel dérivé des espèces végétales de Manuka possédait des propriétés antimicrobiennes remarquables. Il a été démontré que si tous les miels contiennent une enzyme appelée glucose oxydase, qui a elle-même un effet antimicrobien lorsque la glucose oxydase libère du peroxyde d'hydrogène en présence de sérum corporel, le miel de Manuka possède un élément supplémentaire qui lui permet de conserver de puissantes propriétés antimicrobiennes lorsqu'on enlève la glucose oxydase. Ce facteur a été décrit comme une activité non peroxyde, connue plus tard sous le nom de "facteur unique de manuka" ou UMF®. Ce n'est que bien des années plus tard que le composé responsable de ce facteur antimicrobien unique a été identifié comme étant le méthylglyoxal. Si l'on savait que le nectar des espèces de Manuka produisait un miel contenant du méthylglyoxal, on a également découvert que la concentration de méthylglyoxal dans les échantillons de miel de Manuka variait considérablement en fonction des régions, des saisons et de la densité des plants de Manuka dans un endroit donné. Une fois que le méthylglyoxal a été identifié comme le principal composé contribuant au niveau antimicrobien du miel de Manuka, des questions subsistaient quant à sa source, car il n'était pas présent dans le nectar des fleurs de Manuka. Les recherches se sont poursuivies et il a été démontré que le méthylglyoxal contenu dans le miel de Manuka de Nouvelle-Zélande provient du composé chimique dihydroxyacétone (DHA). Lorsque le miel de Manuka est produit fraîchement par les abeilles, il contient des niveaux élevés de dihydroxyacétone et de faibles niveaux de méthylglyoxal, ce qui s'inverse progressivement lorsque les protéines et les acides aminés naturels convertissent progressivement la dihydroxyacétone en méthylglyoxal. Il était donc nécessaire de créer un système de mesure et de certification pour quantifier l'efficacité antimicrobienne du miel de Manuka, ce qui a permis de mettre au point la mesure de ce miel, connue sous le nom de "facteur unique de Manuka" ou UMF®. La méthode utilisée consiste à comparer des échantillons individuels de miel dans une colonie de bactéries avec une concentration connue de phénol, un antiseptique commun utilisé dans l'industrie médicale. En comparant l'efficacité antimicrobienne des échantillons de miel de Manuka à une concentration de phénol, le miel de Manuka bénéficie d'une classification qui garantit son efficacité. Par exemple, un échantillon de miel de Manuka ayant le même effet antimicrobien qu'une concentration de phénol de 15 % est certifié UMF® 15+. Le miel de Manuka UMF dans lequel une concentration supérieure à UMF® 10 est détectée est considéré comme actif, mais des études de laboratoire ont montré que le miel de Manuka avec des niveaux d'activité non peroxyde de UMF® 15, UMF® 20 ou plus est en effet actif sur une large gamme de bactéries.Plusieurs études internationales ont démontré l'action active du miel de Manuka UMF® dans la lutte contre les souches bactériennes. Le miel de Manuka UMF® est un produit extraordinaire dont la valeur unique découle de la présence de composés tels que le peroxyde d'hydrogène, le taux élevé de méthylglyoxal exprimé en UMF®, ainsi que des antioxydants, des polyphénols, des acides phénoliques, des flavonoïdes et des substances de l'abeille, tous indispensables à notre santé.
POLLEN DE FLEURS SEC BIO 125 g Pays d'origine : ITALIE Le pollen est utilisé en phytothérapie comme reconstituant car c'est un aliment complet. Il est riche en protéines (6-30%), en acides aminés (15-22%), en lipides (1-10%), en acides gras insaturés et en stérols, en hydrates de carbone (jusqu'à 50% à l'état sec), en sucres simples (4-10%), en eau (12-20%), en vitamines (vit.C, A, acide pantothénique, acide folique, complexe B), en enzymes, en hormones, en facteurs antibiotiques, en sels minéraux (fer, calcium, magnésium, potassium et zinc) et en flavonoïdes. Dans son noyau cellulaire, le pollen renferme le secret de la vie : les molécules d'ADN et d'ARN qui assurent la fonction vitale de toutes les cellules. Grâce à ces substances, il renforce et nourrit tout l'organisme, combat les états de fatigue psychophysique et se révèle être un excellent adaptogène et antioxydant. Utilisée par les athlètes pour augmenter la résistance à la fatigue et à l'effort musculaire, elle est utilisée dans l'activité physique des sportifs pour sa teneur en glucides et en lipides, mais surtout comme source de protéines et d'acides aminés essentiels, supérieurs à ceux que l'on trouve dans la viande, les œufs et le fromage, ce qui justifie ses propriétés tonifiantes et anabolisantes, dues à la présence de 20 des 22 acides aminés utilisés par le corps humain.
Nous entendons beaucoup parler des abeilles et de l'environnement, et nombreux sont ceux qui ont abordé l'apiculture ces dernières années avec curiosité et espoir. Peu d'entre eux, en revanche, dont l'auteur, en ont une expérience globale, mûrie au fil de décennies d'apiculture passionnée, de lectures, de discussions, d'expériences et d'expérimentations, de comparaisons, de conférences et de voyages. En bref : Paolo Faccioli est l'une des rares personnes autorisées à aller plus loin, dans une terra incognita dans laquelle l'apiculteur n'ose souvent pas s'aventurer, même s'il en a le pressentiment. Faccioli reconsidère son rapport et le nôtre avec le petit insecte, à la lumière des situations environnementales et éthiques les plus actuelles : il l'affronte en effet de l'intérieur, de manière viscérale. Il met à nu les nœuds fondamentaux du rapport entre l'homme-apiculteur et l'animal, en proposant un florilège de réflexions personnelles nées de l'étude des penseurs qui articulent l'un des débats les plus vifs et les plus essentiels de la philosophie contemporaine, celui qui porte l'étiquette très réductrice d'animalisme.